PHOTOGRAPHIES PRISES PAR DIMITRI FABRE
Amis motards Bonjour,
Quelques nouvelles des petites vieilles.
Dimanche 26 mars ce tenait une ballade sympathique organisée par Guillaume le pâtissier de Velleron 84.
Un rassemblement en aparté sur invitation qui a réuni pas moins de 50 motos dont certaines étaient de véritables bijoux d’avant guerre ( Ariel, Motosacoche, Harley Davisson, side car Terrot et magnifique Velocette mais elle des années 50. Voir photos .
Nous nous retrouvâmes à 9 h au bistrot de Velleron où nous avons dégusté la charcuterie de chez Filière. Départ de la ballade !! direction Méthamise et par de petites routes sinueuses puis en traversant la forêt des Indochinois nous avons rejoint les falaises de Lioux. Vu le mauvais temps de la veille, les routes dimanche étaient ensoleillées, superbes ballade.
Ensuite direction Murs puis le domaine viticole du château de Gigondas à Entraigues, nos hôtes nous attendaient pour nous faire déguster leurs productions en côtes du Rhône, Guillaume le pâtissier avait fait les feuilletés, c’était royal ( normal nous étions au château voir photos.)
Enfin retour au Thor, repas à la table paysanne ( ferme auberge) très bon déjeuner et pour désert évidemment les Macarons de Guillaume !!!
Grand merci à Guillaume du rétromotoclub de Pernes.
‘Bonjour
Le 12/12/16
Je m’appelle Didier EGEA. Je suis le neveu d’ Elie EGEA
Lors de l’enterrement de mon oncle, j’ai promis à quelques « anciens » du
moto club de vous faire parvenir des photos retrouvées dans une valise oubliée au fond d’un placard….
Je pense que certains s’y reconnaîtront. Elles datent vraisemblablement de
1958.
Je repense souvent, avec une grande émotion à ces dimanches matin, où j’accompagnais
mon oncle sur les allées de l’Oulle ; Les machines fabuleuses, le bruit des gros monocylindres, les odeurs. Entrer dans le parc et admirer la dextérité des mécaniciens qui s’affairaient
autour d’engins effrayants pour l’enfant que j’étais. Il y avait aussi les sides, celui tout bleu de Maurice Lazard, qui pestait de ne pouvoir passer la quatrième que cent mètres après je ne sais
quel allemand ou suisse, Camathias peut-être. Et le gamin que j’étais se demandait pourquoi il ne la passait pas plus tôt, si c’était si important.
Je me souviens aussi de réunions de préparation des courses quand j’accompagnais mon
oncle, de repas du club. D’un en particulier, pour lequel j’avais effectué le trajet dans la Porsche du Président.
Puis d’un grand prix, à Barcelone, dans le parc de Montjuic. Une époque où l’on
côtoyait pilotes et mécaniciens dans les parcs concurrents, des siècles avant le Barnum des grands prix d’aujourd’hui. Il faut dire que le public n’était pas très nombreux, surtout lors des
essais.
Longue vie au moto club d’Avignon, à tous ses membres et à ses champions, passés,
présents et à venir.
Didier EGEA’
Bonjour à tous,